Maladie
de PARKINSON
Michel
Il peut marcher.
Il veut marcher.
Mais son cerveau
lui dit souvent NON.
Michel
Il peut marcher.
Il veut marcher.
Mais son cerveau
lui dit souvent NON.
Offrez à Michel et à toutes les personnes atteintes d'une maladie du cerveau,
l’espoir de reprendre le contrôle de leurs mouvements et de leur vie.
Cela fait 8 ans que nous vivons avec la maladie de Parkinson. Je dis « nous » car elle atteint aussi mes proches, en particulier ma femme. Cela a débuté par des tremblements. On n’imagine pas à quel point c’est handicapant. Et puis j’ai eu des troubles de la marche et de nombreuses chutes.
En plus de tout ce que la maladie m'empêche de faire, je perds mon autonomie, c'est difficile.
Car jusqu’ici les traitements diminuaient les symptômes, mais avec le temps, ils ont perdu en efficacité. Néanmoins nous gardons espoir en la recherche car nous sommes sûrs que des découvertes pourront redonner un élan à notre vie.
Michel, 68 ans
25 000
nouveaux cas
diagnostiqués en
France chaque année
2ème
cause de handicap
moteur d’origine
neurologique
272 500
personnes touchées
en France
FOCUS SUR LE PROJET
Comprendre les mécanismes à l’origine du « freezing » de la marche pour stopper ce symptôme invalidant
En 2021 à l’Institut du Cerveau, l’équipe des professeures Carine Karachi et Marie-Laure Welter a réalisé la 1ère implantation en France d’un neurostimulateur capable d’enregistrer des signaux intracérébraux de façon embarquée.
Dans un avenir proche, cela pourrait permettre de moduler la stimulation électrique pour diminuer de façon optimale les symptômes des patients.
Aujourd’hui, les chercheurs poursuivent ce projet soutenu par l'association France Parkinson, pour lutter contre le « freezing », symptôme caractérisé par un arrêt intempestif de la marche avec impossibilité
de décoller les pieds du sol, très souvent à l’origine
de chutes dangereuses.
DEMAIN L’ESPOIR
Identifier les signaux cérébraux marqueurs du « freezing » pour :
Pouvoir adapter et personnaliser la stimulation chez les patients, au bon endroit, au bon moment, et ainsi stopper le symptôme.
Initier des recherches de solutions médicamenteuses afin de traiter ce symptôme chez les patients non éligibles à la stimulation cérébrale profonde.
Au cœur du projet : le patient
Pr Carine Karachi
Neurochirurgienne (AP-HP)
et cheffe d’équipe
à l’Institut du Cerveau
Notre projet consiste à mettre des patients parkinsoniens opérés d’une stimulation cérébrale profonde dans des conditions de « freezing ». Grâce
à un casque de réalité virtuelle, les patients seront amenés à marcher sur une plateforme étroite suspendue dans le vide, situation qui provoquera le blocage de la marche. Grâce au neurostimulateur, nous pourrons enregistrer de façon précise les signaux électriques intracérébraux enregistrés avant, pendant et après la survenue de ce symptôme.
votre don
finance 4 axes de
recherche pour :
Prévenir
des premiers symptômes.
Soulager
Réparer
Guérir